Je vous souhaite à tous mes meilleurs vœux pour cette nouvelle année. J’espère qu’elle sera remplie de bonheur, de réussite professionnelle et personnelle pour vous et votre entourage. Comme chaque début d’année, voici un aperçu des statistiques de ce blog et des infos qui ont émaillé l’année qui vient de s’écouler. Comme vous vous en doutez, ce blog occupe une grande partie de mon temps. Toute idée d’amélioration est bienvenue !
Quelques statistiques de l’année qui vient de s’écouler…
En résumé, l’année passée, 493.329 visiteurs ont parcouru le blog en lisant en moyenne un peu plus d’un article chacune, ce qui a totalisé 735.382 lectures. Ce chiffre est nettement supérieur à celui de l’année précédente, où 306.714 personnes uniques avaient visité le blog pour un total de 488.503 lectures d’articles. La plupart d’entre vous sont originaires de France, mais il y a aussi des lecteurs venus de l’étranger, en particulier de pays francophones.
Vous êtes 7.287 à être abonnés à ce blog. Ces statistiques me sont fournies par l’application JetPack qui est intégrée à WordPress, le système qui me permet de vous proposer ce blog.
Voici le palmarès des 10 articles qui ont été le plus lu en 2024 :
Votre avis m’intéresse
Le blog ayant plus de 10 ans (né en décembre 2013), il comprend au 31/12 e me demande s’il ne serait pas bon que je republie certains articles en les actualisant. L’année dernière, je ne l’ai quasiment pas fait. Avez-vous des suggestions pour améliorer ce blog ? Avez-vous des sujets particuliers que vous souhaiteriez que je traite et qui ne l’ont pas été ?
Vous pouvez me répondre de deux façons :
- Soit en publiant un commentaire en bas de cet article. Vos suggestions seront visibles par tous
- Soit, en m’adressant un courriel à l’adresse suivante : didier@dubasque.org
En tout cas un grand merci à vous qui suivez ce blog régulièrement. Vos réactions m’encouragent à l’alimenter ! Sans oublier toute ma gratitude à l’égard de Michèle Flandre qui contribue à la réalisation des revues de presse et de Jacques Trémintin qui assure chaque mercredi les recensions et critiques d’ouvrages qui nous sont transmis. Je profite aussi de l’occasion pour remercier tous les lecteurs et lectrices qui, à un moment ou à un autre, m’ont apporté soit des sources d’articles, soit des remarques fort utiles pour leur rédaction. Encore merci à vous et bonne année 2025 !
Une réponse
Bonjour
je fais un second essai de remarque. Vous avez publié il y a quelques temps al lettre d’un conseiller France Travail, à cette occasion j’ai tenté de vous répondre sans que vous n’en sembliez informé.
Je voulais revenir vers le déficit de sens au travail ressenti par bon nombre de mes collègues, qu’il soient anciens ou plus récents.
Notre travail s’évalue aujourd’hui au moyen d’indicateurs qui n’indiquent que ce qu’on leur demande sans prendre en considération l’humain au centre de nos métiers. Nos directions s’enorgueillissent de résultats, fixant l’année suivante des sommets superieurs encore avec des moyens moindres. Le rapprochement de l’offre d’emploi et de la demande se fait sur la base de savoir être et non plus de savoir faire ce qui ouvre grand les portes du subjectif contre l’objectif. Et comment refuser un poste à une personne pour défaut de « savoir être » puisque c’est un défaut de qualité humaine et non de posture professionnelle ?
Nous avons une situation de l’emploi qui se tend à nouveau et des salaires qui non jamais profités de l’inversion provisoiore et aujourd’hui terminée de l’offre et la demande. L’état via la prime d’activité compensant la pauvreté qu’il organise lui même en maintenant des salaires bas (SMIC ou minimum de branche), l’inspection du travail s’étiole et n’est vu que comme l’empecheur de tourner en rond.
De plus notre établissement se fait fort aujourd’hui d’inscrire tous les bénéficiaires du RSA et leurs conjoints (ce que les médias oublient souvent) comme si tout devait s’étalonner sous le point de vue du travail (à défaut d’emploi). Mais un un conjoint de bénéficiaire du RSA par exemple doit il se positionner au regard de l’emploi alors qu’il peut être dans une démarche de scolarisation, d’hospitalisation ou de garde d’enfant voire d’aidant qui ne le met pas en rappport à l’emploi ? Et quelles solutions pour ces publics éloignés de l’emploi (alors que les expérimentations sur le RSA n’ont pas été concluantes.
Le déploiement d’algorithmes à la froide bétise ne fait qu’amplifier l’incompréhension entre nos métioers et nos publics, ballotant ceux ci de dispositifs en dispositifs pour les occuper à défuat de solutions perennes.
Peu de contestation à l’interne car peu de dialogue social tout court, l’impression d’être mieux « ici que dehors » et que chaque lutte est inviduelle et personnelle. Au mieux des collègues qui « arrondissent les angles » pour ceux dont la situiation les aura ému.
Le travail social et l’emploi sont proches des mêmes réalités, mais un conseiller FT n’est pas un travailleur social (il ne le revendique d’ailleurs pas)
Sombre avenir je sais, mais 25 ans d’expérience et assez de recul pour ne plus y croire encore alors que l’on cherche à nous intégrer à une « start up nation » qui n’existe que pour justifier que certains soiente en échec.