- Enfants disparus : près de 12 000 enquêtes en cours et des familles démunies. Cet article date du mois de mai mais il me parait utile de vous le communiquer tant les chiffres annoncés sont importants. Certes il y a beaucoup d’enfants retrouvés à la suite de fugues mais il en reste un nombre conséquent que les familles ne revoient pas. En France, 49 347 mineurs ont été enregistrés dans le fichier des personnes disparues en 2016. A l’occasion de la Journée internationale des enfants disparus, le CFPE veut sensibiliser les parents, qui se retrouvent souvent sans réponses et dans une grande détresse.
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Burn out : Boris Cyrulnik nous éclaire sur le nouveau mal du siècle. Plus de 3 millions de personnes en activité seraient menacées de burn out. Ce véritable fléau des temps modernes est désormais pris très au sérieux par les entreprises qui doivent prévenir les risques psychosociaux. Mais de quoi s’agit-il exactement ? Ce que l’on appelle le burn out est un syndrome d’épuisement professionnel. Fatigue chronique, démotivation, sentiment d’échec et d’incompétence en sont les symptômes. C’est le résultat d’un immense stress dû à une surcharge de travail ou à un manque de reconnaissance.
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Confirmation d’un plan quinquennal pour le « logement d’abord » : et « d’abord » ça veut dire quoi ? Le « logement d’abord » est une promesse de campagne d’Emmanuel Macron, visant à favoriser la sortie des personnes des hébergements d’urgence et leur entrée vers le logement de droit commun avec des solutions d’accompagnement social dans le logement. L’objectif affiché par le ministère est de créer, sur cinq ans, 10.000 places en pensions de famille, 40.000 places supplémentaires en intermédiation locative et de « mener un effort de construction pour doper l’offre de logement en zones tendues, en particulier le logement abordable ».
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Gaz poivre, refus d’eau et d’alimentation en terre d’asile : « C’est comme vivre en enfer » : l’intitulé du rapport de Human Rights Watch sur les abus policiers à Calais contre les migrants, publié le 26 juillet, est sans appel. L’organisation y dénonce notamment l’utilisation de gaz poivre sur des personnes, enfants ou adultes. Sur la base d’entretiens menés avec plus de 60 personnes exilées à Calais et ses environs, Human Rigths Watch relève l’utilisation de ce gaz particulièrement irritant sur des personnes endormies, de la nourriture ou l’eau distribuée. (Lien Social)