- Quand les assistantes maternelles se mobilisent contre la « taxe couches culottes » : – (le sujet est trivial, mais au final pas tant que cela) – 92 euros par an destinés à financer le surplus de déchets ménagers produits par l’activité des assistantes maternelles. C’est la taxe qui a été adoptée par les élus de la communauté de commune des Terres du Lauragais, près de Toulouse. Depuis avril 2016, la décision était en attente : annoncée, mais pas votée. Mais depuis le 11 juillet dernier, c’est officiel : les assistantes maternelles du territoire devront s’acquitter de cette taxe, surnommée la « taxe couche-culotte ». Le nom fait référence à l’utilisation des couche-culottes et des pots de yaourts qui constituent, selon les élus, un excédent d’ordures dans les poubelles des assistantes maternelles.
- Regard sur le métier de TISF , « Technicienne de l’intervention sociale et familiale ». C’est le métier exercé par Marie-Claude Pailler au sein de l’ADMR. « Je ne suis ni assistante sociale, ni éducatrice, ni tutrice… », rappelle Mme Pailler à l’heure de parler de son quotidien. « Je travaille par rapport à la parentalité et mon rôle consiste à intervenir auprès de familles qui ont des soucis », poursuit-elle avec un engouement qui atteste d’un métier passion. « Je rencontre chaque jour des gens super qui ont envie de se sortir d’une mauvaise passe, des gens écrasés par les soucis, par des préjugés aussi, des gens repliés sur eux-mêmes, des gens parfois cassés. Je suis là pour ramener de la vie dans la vie »
- Histoire de violence intra familiale et problème de logement : «Nous n’avons pas de logement adapté aux contraintes de Nadia Mendas, ou bien il faut qu’elle revoie ses attentes à la baisse. C’est désormais à elle de voir avec son assistante sociale ce qui est possible de faire.» (ben voyons !)
- Dordogne : la petite Laly a-t-elle été victime d’une « défaillance des institutions » ? En 2015, Laly, une enfant trisomique de 8 ans, mourait défenestrée par un camarade de classe de son école spécialisée (voir mon post d’hier). Ses parents avaient porté plainte et l’institutrice ainsi qu’une assistante sociale avaient été mises en examen pour homicide involontaire. Sud-Ouest révélait récemment que le petit garçon qui a poussé Laly avait commis le même geste sur un bébé deux ans plus tôt. Aujourd’hui, les parents de la fillette prennent la parole dans Le Parisien pour demander des explications…
Photo : issue d’une pub de Pampers ( désolé, je n’avais que cela en magasin sur un sujet tel que les couches-culottes..)