- A Paris, manifestation contre les violences faites aux femmes : «Toujours et partout contre les violences faites aux femmes». Derrière ce slogan, environ un millier de personnes ont manifesté samedi à Paris. Manifestation à l’occasion de la journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes. Comme chaque année, organisations féministes, partis de gauche (PCF, NPA, LO ..) et syndicats (Solidaires notamment) avaient appelé à défiler .
- Macron s’engage contre les violences faites aux femmes, qui se mobilisent : « Horreur et honte »: Emmanuel Macron s’est montré intraitable samedi contre les violences faites aux femmes. Il a proposé une répression accrue de leurs auteurs et une meilleure protection des victimes. Le président de la république a décrété l’égalité entre les sexes « grande cause du quinquennat ». (AFP) « Elles sont 123 à être décédées en 2016. Je vous demande d’observer une minute de silence en hommage à ces femmes battues, violées et tuées. » Très vite au début de son discours, prononcé devant un parterre de 200 personnes représentant les associations, les institutions et la classe politique, Emmanuel Macron donne le ton. Celui d’un discours très habité, mais aussi très offensif. (La Croix)
- L’emprise, cet engrenage crucial des violences faites aux femmes : « J’étais sous emprise ». On parle peu de cette mainmise insidieuse qui s’exerce sur un certain nombre de victimes de maltraitances. Auteure de « Femmes sous emprise, les ressorts de la violence dans le couple », la psychiatre Marie-France Hirigoyen nous aide à décortiquer les ressorts cognitifs de ce mécanisme pervers et complexe. Spécialisée dans l’étude de toutes les formes de violences, elle nous explique combien l’emprise est un engrenage central des violences faites aux femmes. Interview sur le site de l’Obs.
- Violences faites aux femmes: « l’urgence nous la connaissons » assure Marlène Schiappa :
- Journée contre les violences faites aux femmes: Les jeunes plaident pour davantage de protection. Une majorité des 18-30 ans souhaite que les très jeunes femmes soient davantage protégées contre les violences sexistes et sexuelles, selon un sondage Opinion Way pour « 20 Minutes » publié ce vendredi… « il ne faut pas oublier que les plus jeunes femmes, celles entre 15 et 18 ans, n’osent pas du tout prendre cette parole-là, que ce soit pour dénoncer des violences sexuelles ou des faits de cyberharcèlement », déplore Marie-Pierre Badré, déléguée spéciale à l’égalité femmes-hommes de la région Ile-de-France et présidente du Centre Hubertine Auclert.
Revue de presse et sélection des articles réalisée avec l’aide de Michelle Verrier Flandre