- Aidons les aidant ! Des aides à mobiliser pour les aidants familiaux : à l’occasion de la journée nationale des aidants ce 6 octobre, le Guide Familial rappelle le rôle essentiel de celles et de ceux qui soutiennent les personnes âgées ou handicapées. « Les assistants sociaux les repèrent-ils toujours parmi leurs usagers ? En France, près d’une personne sur cinq apporterait régulièrement son aide à un proche touché par une maladie, un handicap, ou une dépendance liée au grand âge. Hélas, « près de 60 % des aidants ne savent pas où s’adresser pour s’informer et bénéficier des aides auxquelles ils ont droit »…
- Les enfants maltraités gardent des connexions neuronales altérées : Pour la première fois, il a été montré que les enfants maltraités ont un cerveau qui se développe anormalement. De quoi peut-être expliquer les effets durables des traumatismes de l’enfance. Les auteurs de cette communication avancent que, des changements dans la connectivité des neurones contribuent à modifier le traitement des émotions chez les personnes qui ont été maltraitées pendant l’enfance…
- La prime d’activité pour les pensionnés en invalidité est supprimée ! : Le projet de loi de finances 2018 n’est pas tendre avec certains pensionnés d’invalidité et victimes du travail. Derrière des annonces supposées améliorer le quotidien des personnes handicapées, « priorité » du quinquennat, se dissimulent des mesures préjudiciables, qui viennent réduire leur pouvoir d’achat. Pour autant cette prime n’a pas été utilisée par un grand nombre de bénéficiaires. « Or déjà en octobre 2016, Véronique Bustreel, de l’APF (Association des paralysés de France), prévenait : «Aucune communication n’a été faite par la Cnaf ou la MSA sur ce sujet. Les bénéficiaires ne sont pas assez informés !». Aujourd’hui, elle ajoute : «Plutôt que de supprimer un droit, le gouvernement devrait s’attacher à lutter contre le non recours car des milliers de salariés qui perçoivent une pension d’invalidité ne doivent pas être exclus de cette mesure de pouvoir d’achat».
et aussi
- Accueil familial : les ruptures au cœur d’une journée de réflexion. Vous trouverez ici un excellent compte rendu d’un colloque qui s’est tenu le 29 septembre dernier à Nanterre sur ce sujet. La dimension internationale de cette journée permet d’élargir le champ de la compréhension des liens entre la continuité et les ruptures en accueil familial. Cela intéressera tout autant les magistrats que les travailleurs sociaux et psychologues qui interviennent auprès des enfants placés. Le Site Gynger est désormais connu pour apporter des informations fiables et particulièrement documentées sur les questions liées à la famille, l’enfance et d’éducation.
Revue de presse et sélection des articles réalisée avec l’aide de Michelle Verrier Flandre
Photo : pixabay
Une réponse
Malgré tous ces malaises, à quatre ans déjà je comprenais le rôle du père….Géniteur.Ils ont euent neuf enfants dont la première fille Pauline, est décédée après son bathême suite à une pneumonie.Ce fut une tragédie pour mes parents. Je suis la septième d’une famille et jumelles mais pas identique.Ils m’ont donné le même prénom que la première fille sur quatre autres plus moi…Pourquoi moi ? Si non maman m’aurait appelée Manon. J’ai jamais connu la vrai raison,mais il doit en avoir une.J’ai perdu ma jumelle suite à un cancer du sein en 2000 et en rémission 5 ans.En 2012,un cancer du colon qui s’est généralisé,la pauvre,comme elle a souffert.Je l’ai accompagné jusqu’à la fin et je ne l’ ai jamais regretté.Elle est décédée le 24 septembre 2014 et m’a demandé de lui faire des funérailles digne de sa volonté…et je l’ai respecté.Mon seul regret c’est qu’elle n’a pas pardonné à mon père…Ma soeur, l’ainé et moi sommes resté seul avec elle et lui supplui de pardonner si elle voulait passé le tunnel et elle a résistée,elle a fait un signe non avec sa tête.Mes parents (feut )avant elle.C’était une mal aimée,malheureusement.Depuis que la nouvelle loi est passé (mourir avec dignité),je me demande si elle aurait pas choisi elle-même de mourir avec sa propre dignité.Je suis inquiète,je me questionne…mais ce qui est sur,c’est que chaqu’un a le droit à ses propres volontés et il faut les respecter. Merci à nos Gouvernements d’avoir agit le temps de mon vivant.