- 50 ans du diplôme d’éduc… l’avenir d’un métier : Chaque Etablissement de Formation en Travail Social (EFTS) aura sans aucun doute célébré à sa façon les 50 ans du Diplôme d’Etat d’Éducateur Spécialisé, institué par le décret 67-138 du 22 février 1967 . De même, la revue Empan s’est risquée à publier un numéro sur ce thème… « l’éducateur spécialisé devient un intervenant social servant une aide ponctuelle dans le cadre d’un objectif identifié et solvable. La profession est mise à mal par cette vision de l’aide sociale. La question qui se pose est de savoir si, à ce jour, l’éducateur spécialisé, identifié par son métier, dispose ou non des ressources intellectuelles et pratiques pour échapper à des orientations contraires à ses aspirations ? »
- Les inégalités scolaires passent aussi par l’accès à la cantine : Une étude met en lumière les différences d’accès à la cantine pour les collégiens et les lycéens des familles les plus modestes. Source d’inégalité scolaire importante, le phénomène tarde à être pris en charge par les collectivités. En fait, l’accès à la cantine est directement lié aux performances scolaires et la mise en place d’un tarif social est un vrai levier d’inclusion pour les plus modestes
- Dans ces entreprises, on aide les salariés… à aider leurs proches : Camille de Cadenet est assistante sociale à la Société Générale, à Nantes. Elle reçoit les salariés qui en font la demande pour évoquer leurs problèmes personnels ou professionnels. « Je discute avec beaucoup de personnes aidantes, qui me parlent de leurs difficultés, des démarches qu’ils entreprennent… ». Elle a mis en place un atelier d’aide aux aidant avec une collègue de la mutualité française.
et aussi
- Une ex-demandeuse d’asile fait plier l’État : Claire, 29 ans, son fils, 2 ans et demi, et sa fille, 15 mois, étaient à la rue à Nantes. Leur cas a été jugé au Conseil d’État, à Paris. Le 115 a dû leur trouver un hébergement d’urgence. L’État ne le cache pas : « La situation est épouvantable à Nantes, avec énormément de gens à la rue. » Pas une excuse, selon le conseil d’État. L’urgence et la légitimité ne font aucun doute. La juge a enjoint la préfète de Loire-Atlantique de leur trouver un hébergement d’urgence.