- Educateur tué à Nantes : « Il y a un avant et un après ». Le Service Social de Protection de l’Enfance reste profondément meurtri par la mort d’un de ses éducateurs poignardé dans ses locaux sur l’Ile de Nantes alors qu’il tentait de s’interposer entre un père et une mère. C’était le 19 mars 2015, et depuis rien n’est comme avant. Pour les salariés ce crime reste un traumatisme majeur. Plusieurs éducateurs ont vécu des arrêts de travail très longs. Certains sont en invalidité et certains ont changé de carrière professionnelle. »- l’avocate Cécile De Oliveira.
- Un éducateur a été tué en 2015 : quatrième jour du procès (DIRECT) : la veuve de la victime a déposé hier matin devant les assises « sa mémoire flotte dans la maison » « c’est un acte qui me dépasse. D’un psychopathe qui n’a pas de limite, qui est hors la loi. Pour qui sa femme était sa chose. » à propos de l’ex compagne de l’accusé : « c’est une victime. Il ne faut pas qu’elle se sente coupable. Je n’ai aucun grief »
- Nantes : accusé d’avoir tué un éducateur spécialisé, le procès de Florin Safta se poursuit. Mardi s’ouvrait le 4ème jour du procès. e mardi s’ouvrait le quatrième jour du procès de Florin Safta devant la cour d’Assises de Loire-Atlantique, à Nantes. L’épouse de la victime, Isabelle Gasztowtt était entendue. Elle décrit en Jacques Gasztowtt « un père idéal, un homme intègre avec de belles valeurs ». Ensemble, ils avaient adopté deux enfants colombiens : « ils se retrouvent deux fois orphelins »