- «Les formations sociales ne sont pas une prioritĂ© des rĂ©gions» â Diane BossiĂšre: (La Gazette ) PrĂšs de 62 000 Ă©tudiants sont inscrits dans les formations prĂ©parant aux treize diplĂŽmes du travail social, sous la responsabilitĂ© des rĂ©gions, cheffes de file de la formation professionnelle. Deux arrĂȘtĂ©s parus au « Journal officiel » le 21 juin viennent parachever la dĂ©centralisation en transfĂ©rant aux rĂ©gions lâagrĂ©ment des EFTS. Pour Diane BossiĂšre, dĂ©lĂ©guĂ©e gĂ©nĂ©rale de lâUnaforis, lâenjeu est dĂ©sormais dâĂȘtre prĂȘt pour la rentrĂ©e 2018. Il sâagit de mettre en place les cinq nouveaux diplĂŽmes qui donneront accĂšs au grade de licence.
- La Gironde se positionne pour expĂ©rimenter le revenu de base : Le DĂ©partement souhaite lancer une expĂ©rimentation locale dĂšs 2018. AprĂšs un travail de consultation menĂ© en dĂ©but dâannĂ©e, lâhypothĂšse retenue serait de verser un revenu de 1 000 euros Ă tous les adultes et 300 euros Ă chaque enfant. Mais pour passer de lâutopie Ă la rĂ©alitĂ©, il faut quâune loi soit votĂ©e au niveau national.
- Une maraude avec les Gamelles Pleines⊠dâespoir, Ă Rennes ! L’association lutte contre lâexclusion sociale des personnes en situation de prĂ©caritĂ© en intĂ©grant la dimension animale. Ce qui est rare pour en parler ! En effet, alors que lâon observe une nette augmentation du nombre dâanimaux, en particulier les chiens, accompagnant les personnes sans domicile, les rĂ©ponses institutionnelles et sociales restent insuffisantes et inadaptĂ©es Ă la prise en charge du binĂŽme « homme-chien ». Rencontre, un soir de maraudeâŠ
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- EmmaĂŒs, bien plus qu’une grande brocante : Ă EmmaĂŒs, le principe d’accueil de compagnons est simple. « C’est un accueil inconditionnel, on ne cherche pas Ă connaĂźtre le passĂ© des gens qui arrivent. S’ils travaillent pour la communautĂ©, ils peuvent rester. » En ce moment, des Congolais, des BĂ©ninois, des ArmĂ©niens, des Espagnols, des Polonais, des Libyens vivent ici… « Plus d’une dizaine de nationalitĂ©s diffĂ©rentes », souligne Jean Humeau. Certains restent quelques semaines, d’autres plusieurs dĂ©cennies. Tous sont accompagnĂ©s par une assistante sociale, qui les aide Ă construire un projet sur le long terme.
- Le DĂ©partement de l’IsĂšre devra assumer ses responsabilitĂ©s face aux mineur(e)s isolĂ©(e)s Ă©tranger(e)s. – La Cimade : Les personnes reprĂ©sentant le Conseil dĂ©partemental de lâIsĂšre ne nient pas la carence des autoritĂ©s Ă©tatiques mais explique, pour leur dĂ©fense, « tout mettre en Ćuvre pour lâaccueil de ces jeunes » et de faire des efforts pour augmenter le budget et les places pour leur hĂ©bergement. La nĂ©cessitĂ© de prendre en charge les mineur(e)s isolĂ©(e)s Ă©tranger(e)s nâest donc pas contestĂ©e. Pour autant, aucune protection nâest proposĂ©e Ă Elie. Face Ă la situation de mineur en danger, le Tribunal Administratif de Grenoble exige le respect du droit : il adjoint au Conseil GĂ©nĂ©ral de lâIsĂšre de procĂ©der Ă lâaccueil provisoire dâurgence de Elie par les services de la protection de lâenfance.
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