- Découvrez ce commentaire sportif issu d’une vignette clinique du carrefour de l’AEMO. Cette vidéo date un peu mais je viens de la découvrir grâce à une collègue du groupe Facebook « travailleurs sociaux en danger ». La délégation Régionale Languedoc Roussillon du CNAEMO nous présente le parcours de l’enfant réduit à un simple ballon de football. Tout y est ou presque le juge, l’équipe éducative et bien sûr l’éducateur aemo, le psychiatre, le psychologue, les enseignants, la famille qui ne respecte vraiment pas les règles du jeu ! Il y a ceux qui bottent en touche, celles qui remettent la balle au centre et ceux qui encaissent les buts. Excellent pour vous détendre en période de stress !
- « Travailleurs sociaux : une réforme périlleuse » : c’est le titre d’un article du journal l’Humanité qui aborde la question de la refonte des diplômes des professionnels du travail social. « Les établissements de formation n’auront que quelques mois pour mettre en place les formations qui y mènent. Et les contenus restent flous… » indique le journal. La journaliste Mélanie Mermoz aborde plusieurs aspects de la réforme avec la question du financement de la réforme qui n’est pas réglée : quelles augmentations de salaires justifiés par le passage en niveau licence alors que les salaires sont « gelés » dans le secteur privé ? Il est à craindre que rien ne bouge ou presque de ce coté là. Autre sujet abordé le socle commun des études pour les différents métiers (lire l’article)
- Bourges : des appartements mis à disposition des sdf pour réduire la facture. La préfecture finance la location de 4 appartements depuis début janvier qui permettent de loger 25 personnes en lieu et place d’hébergements à l’hôtel. A la clef, de belles économies pour l’état et un meilleur suivi social. Ces appartements ne sont pas luxueux. Ils proposent le minimum vital précise France 3 » C’est voulu, indique Farid Boukhari de l’association Le Relais. Il ne faut pas que ces familles s’approprient trop les lieux. C’est du logement temporaire. On y place notamment des familles de demandeurs d’asile qui ne peuvent pas aller dormir dans des foyers d’urgence au contact de vagabonds un peu rudes parfois. (lire l’article)
et aussi mais faut-il en parler ? Les bras m’en tombent…
- « Pour l’immense majorité de SDF qui dorment dans la rue, c’est leur choix », affirme un député LREM de Paris (lire la vidéo à partir de 5’18) Selon l’AFP qui a enquêté on estime que chaque nuit, pour la seule ville de Paris, ce sont 2.500 à 3.000 personnes qui sont à la rue ou dans des lieux non prévus pour l’habitation. Font-elles toutes le choix de dormir à la rue ?
revue de presse réalisée avec le concours de Michelle Verrier Flandre