- Lorsque Nicole Ferroni rappelle la galère des travailleurs sociaux de l’ASE à Manuel Valls (2’27 ») et… « je me dis que mince, vous avez tellement de chance d’avoir dans votre pays une armée de bisounours, de gens qui sont engagés par amour, par conviction : des infirmiers, des assistants sociaux, des policiers, les professeurs, les gendarmes, les psychologues, les médecins, les pompiers, les bénévoles, des gens qui œuvrent sur le terrain, qui vous préviennent de beaucoup de problèmes… (3’30 »)
- Huit mois avec Robinson/ Pour comprendre la vie dans les bois, voici le témoignage de Jean-Pierre, qui a vécu récemment dans le Bois de Boulogne. « Boulogne, j’y vivais depuis 25 ans quand j’ai été expulsé pour impayés. Je ne savais pas où aller. Les 15 premiers jours j’ai réussi à squatter le sous-sol de mon immeuble, puis un vigile m’a demandé de dégager, et j’ai été dans le Bois. J’avais repéré un sapin creux, je me suis m’installé à l’intérieur pendant 3 ou 4 jours ».
- Douze millions de pauvres : l’échec du « modèle allemand » ? Selon une association allemande d’aide sociale, la barre record des douze millions de personnes vivant sous le seuil de pauvreté vient d’être franchie. Pauvreté, inégalités, bas salaires, services publics atrophiés, de nombreux allemands sont obligés de cumuler deux emplois pour boucler leurs fins de mois.
et aussi
- Dans les usines ou les bureaux, ces médecins du travail qui tentent, malgré les pressions, de protéger les salariés. Ils sont les premiers à constater l’impact des nouvelles organisations du travail et de l’intensification des tâches sur la santé des salariés. Les médecins du travail identifient les pathologies, de la douleur musculaire à la dépression, mettent des mots sur les souffrances des salariés, prodiguent des conseils… Mais l’écoute bienveillante ne suffit pas toujours