La fessée n’est pas éducative. Elle vient d’être interdite
C’est d’ailleurs le cas dans de nombreux pays et la France est l’un des derniers à l’interdire… L’Assemblée Nationale a voté un texte qui a provoqué de longs débats au Parlement. La proposition de loi contre les « violences éducatives ordinaires » (VEO), a finalement été adoptée, à la quasi-unanimité. Seule la députée du Rassemblement national (RN) Emmanuelle Ménard (Hérault) Ce débat nous a provoqué une série d’articles sur ce sujet :
- Pourquoi la fessée est aussi humiliante
- Que se passe-t-il dans la tête d’un enfant qui en reçoit une ?
- Trois idées reçues sur la fessée au crible des spécialistes de l’éducation
- Que font nos voisins?
- Fessée, claque, punition : pourquoi les psys sont contre ?
- La fessée est un acte réducteur et humiliant, pas éducatif
- Et si les parents se mettaient à la parentalité positive?
- Pour Marlène Schiappa, «il n’y a aucune violence qui soit éducative»
Toulouse: Avec les Droits du cœur, les Restos font de l’aide sociale mobile aux sans-abri
Depuis le mois de mai, l’antenne de Haute-Garonne a t lancé un service unique en France, le camion des Droits du cœur, qui épaule les personnes à la rue dans leurs démarches juridiques, sociales et administratives. Trois fois par semaine, les bénévoles de l’association profitent de la distribution des repas aux sans-abri à Héraklès, au Grand Rond et aux Raisins pour les aider à faire valoir leurs droits. Formation des bénévoles. «Les personnes vivant dans la rue sont éloignées des dispositifs sociaux donc nous avons constaté qu’il fallait aller au contact de ces personnes, en créant un espace de confidentialité, explique Francis Bornet, responsable des Droits du cœur. Avant les bénévoles leur donnaient des conseils en même temps qu’ils leur distribuaient des repas mais nous avons voulu les former et créer un endroit adapté pour cette population ». (lire l’article de 20 minutes)
D’éducateur spécialisé à préfet de l’Indre
Un préfet ancien éducateur spécialisé ce n’est pas courant ! C’est le parcours atypique et républicain de Thierry Bonnier, nouveau préfet de l’Indre. Né il y a cinquante-six ans d’un père ouvrier dans l’aérospatiale et d’une mère au foyer, celui qui se décrit comme un « curieux de nature » a successivement été travailleur social, éducateur spécialisé auprès de jeunes en difficulté, avant de passer le Diplôme d’État relatif aux Fonctions d’Animation (Defa) pour devenir un professionnel de l’animation sociale et culturelle…. (lire l’article de la nouvelle République)
et aussi :
La pénurie de travailleurs sociaux francophones en Ontario (Canada)
La demande pour des travailleurs sociaux francophones ne dérougit pas en Ontario et les divers organismes qui emploient les jeunes diplômés ont peine à combler la demande. Selon divers agents du domaine de la santé publique, ce problème vient en partie du fait que les universités ne recensent pas le nombre d’étudiants francophones dans leurs programmes. « Pour les francophones qui reçoivent des soins et services dans le système, la possibilité de s’exprimer dans leur langue maternelle est très importante, c’est une question de sécurité » précise Sylvie Rivard, porte-parole francophone du conseil d’administration de l’Association des travailleurs et travailleuses sociales de l’Ontario. Voilà un « métier en tension », qui plus est en langue française… (lire l’article de Radio Canada)