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Fin de la prime d’activité pour les pensions d’invalidité / La protection de l’enfance entre avancées et déni / Du stress pour les enfants handicapés

  • «Avec la fin de la prime d’activité, je vais perdre l’équivalent de mon budget soins.». La prime d’activité pour les pensionnés d’invalidité en emploi, c’est fini. Contrairement aux bénéficiaires de l’allocation adulte handicapé, ils vont perdre cette aide destinée aux travailleurs ayant de faibles ressources. Un manque à gagner de 140 € «Je touche une pension de 726 € par mois », détaille Valérie Delugin, 51 ans.  « Mon emploi de conseillère clientèle, à mi-temps car je n’ai pas la capacité de travailler à temps plein, me rapporte 600 à 700 €. Ce qui fait de 1300 à 1400 € par mois. L’arrêt de ma prime d’activité de 140 € mensuels va me faire perdre plus de 10% de mes ressources. C’est énorme lorsqu’on vit seule avec un enfant à charge. » (lire l’article sur faire-face.fr)
  • Assises de la protection de l’enfance : entre avancées et déni de réalité.  TSA rend compte à sa manière des assises de la protection de l’enfance qui se sont déroulées les 28 et 29 juin derniers à Nantes :  « Si certains sujets, délicats et contemporains, se fraient à juste titre une place dans le travail social, celui de la dégradation des conditions de travail a, littéralement parlant, été laissé à la porte de la cité des congrès ». TSA a suivi l’atelier auquel j’ai eu le plaisir de participer : « Repenser les pratiques et l’accompagnement était aussi l’objectif de réflexion d’un atelier du vendredi matin, intitulé «technologies numériques-réseaux sociaux : apprendre à faire avec ces nouvelles familles» . Vincent Meyer, sociologue, avoue «un grand retard du champ du travail social dans cette transition digitale». Pourtant, le travail social doit absolument penser ces nouvelles technologies, comme autant d’outils pouvant l’aider dans ses accompagnements.  (lire l’article sur tsa-quotidien.fr)
  • Déjà le stress de rentrée pour les enfants handicapés : Alors que les vacances d’été vont bientôt commencer, cette période est souvent synonyme de grand stress pour les parents d’un enfant handicapé, qui ne savent pas encore s’il pourra bien faire sa rentrée à l’école et dans quelles conditions. Le site handicap.fr nous raconte l’histoire de  Caroline Boudet maman d’une petite fille atteinte de trisomie 21. Elle  doit faire sa première rentrée en septembre. . « Dès novembre, nous avons rempli un dossier de 20 pages, recueilli des certificats médicaux, détaillé ses journées ». Après des mois de paperasses, de rendez-vous, de coups de téléphone aux diverses administrations, la rentrée se profile. Puis patatras tout tombe à l’eau. « on m’a demandé si je ne voulais pas finalement la laisser en crèche un an de plus ». « Amère, épuisée et révoltée », elle ne sait plus de quoi la rentrée de sa fille sera faite.. Des situations partagées par d’autres parents… (lire l’article sur handicap.fr)

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  • Impossible d’expulser cette locataire HLM, mauvaise payeuse depuis 20 ans : et vous qu’en pensez-vous ? Une habitante d’un HLM de La Seyne-sur-mer, dans le Var, a réintégré son logement après une manifestation d’un collectif en sa faveur. Les manifestants ont obtenu l’abandon de la procédure d’expulsion, alors que la locataire ne payait plus régulièrement son loyer depuis 1996.

 

Revue de presse réalisée avec le concours de Michelle Verrier Flandre

Photo : Veronique Bustreel conseillère nationale emploi ressources à l »Association des paralysés de France (APF) dans son message vidéo pour signer la pétition « AAH, pensions d’invalidité : Non au recul des droits et à l’aggravation de la précarité ! »

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