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Contre quoi et pour quoi lutte le travail social ?.. "Allo, ici c'est Dominique, du CHRS"… Maltraitance: de plus en plus de dossiers..

  • « Contre quoi et pour quoi lutte le travail social ?« .   « Certains voudraient que le travail social devienne intervention sociale. Pour faire une image, on nous demandes de passer de la police de proximité à la BAC, puisque ce vocabulaire renvoie en premier lieu à l’intervention policière. Mais, on le sait, c’est le lien de proximité qui empêche d’intervenir justement. Et puis, nous considérer sous l’angle d’une police des familles (Donzelot) pour surveiller et punir les pauvres (Foucault), c’est s’inscrire dans une autre époque et montre bien l’anachronisme de cette séquence du capitalisme. Notre travail se situe ailleurs. » (Blog de Jean-Marie Bataille  sur médiapart)
  • « Allô, ici c’est Dominique Janvier du CHRS L’Olivier » Cet article proposé par la revue « SociologieS » propose de suivre les problèmes posés par la mise en application de « la participation des usagers » dans des centres d’hébergement et de réinsertion sociale (CHRS).  À de nombreuses reprises, les professionnels se trouvent embarrassés dans leur pratique et perplexes quant au rôle à tenir dans la mise en œuvre de la participation. Plus largement, ces nouvelles mesures jettent le trouble sur les positions des uns et des autres.
  • Maltraitance: de plus en plus de dossiers. En Belgique, 5 % des nouveau-nés courent des risques de maltraitance grave. En province de Luxembourg, chaque année, 150 naissances méritent une attention particulière. « On assiste également de plus en plus à un phénomène de maltraitance psychologique lors d’une séparation conjugale ».
  • Viol, prostitution, pauvreté, la situation alarmante des migrants mineurs isolés. L’Unicef dénonce la situation des migrants mineurs en France. Ils seraient au moins 500 et sont confrontés très largement aux violences sexuelles, à la précarité et aux angoisses psychologiques …/… Les problématiques de prostitution et de viol sont au coeur de cette enquête. Elle cite les témoignages d’Éthiopiennes, d’Érythréennes ou encore de Kurdes, qui sont contraintes de se prostituer pour environ cinq euros la passe « pour réunir les 5000 à 7000 euros » exigés pour traverser la Manche.
  • Moi Mohammad, 13 ans, réfugié avec ma famille à Grande Synthe :

  • Sijad, 12 ans : ma vie seul dans la « jungle » de Calais

Photo : PRO TimOve « Sucked into the ground » Prise le 4 mai 2008 «  Certains droits réservés

 

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