BRUT : les vidéos qui « percutent » et traitent de problèmes sociaux : Vous recevez peut-être ces vidéos courtes et pédagogiques via twitter ou Facebook. Elles témoignent souvent de situations sociales et délivrent des messages qui pour de nombreux travailleurs sociaux sont perçus comme des évidences. En effet nous rencontrons des personnes qui vivent des violences diverses. Nous en sommes témoin. En voici 3 distinctes qui peuvent comme on dit « vous interpeler »
- Une mère de famille raconte comment la grande pauvreté bouleverse la vie scolaire de son enfant.
Une mère de famille raconte comment la grande pauvreté bouleverse la vie scolaire de son enfant.
Un témoignage édifiant, lu en pleine commission parlementaire. pic.twitter.com/dfPiInnKOR— Brut FR (@brutofficiel) February 7, 2018
- « Les mots tuent, le mauvais traitement journalistique des violences faites aux femmes revient à les tuer une deuxième fois ».
"Les mots tuent, le mauvais traitement journalistique des violences faites aux femmes revient à les tuer une deuxième fois". pic.twitter.com/ezknqTVBIo
— Brut FR (@brutofficiel) February 7, 2018
- Réfugiés : Sadiq a fui la guerre en Afghanistan. Aujourd’hui, il est réfugié en France
https://twitter.com/twitter/statuses/960066420770877440
Une réponse
La délégation salue ces efforts et estime qu’ils doivent être poursuivis et amplifiés. Elle note par ailleurs qu’une plate-forme de signalement a été mise en place par l’Inspection générale de la police nationale (IGPN) en 2014. Cette plate-forme enregistre les signalements des citoyens, victimes ou témoins d’un comportement susceptible de mettre en cause des agents affectés dans un service de la police nationale. Ce type de dispositif peut aussi contribuer améliorer l’accueil des victimes de violences dans les commissariats . Il est également impératif que le service de police accueille la victime qui se présente au commissariat. Nous avons en effet constaté des situations dans lesquelles la victime se présentait a un service et, parce que tous les agents étaient occupés, elle était renvoyée chez elle et invitée à revenir plus tard. Nous avons souligné que cette pratique était proscrire et que les victimes devaient être traitées immédiatement