Après un drame, le secret professionnel des assistants sociaux à nouveau contesté.. « Laver les dents?, les cheveux? Il faut choisir »..

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  • Le secret professionnel des assistants sociaux: «Tantôt se taire, tantôt parler»Interview : Brigitte Bouquet, ancienne titulaire de la chaire «travail social-intervention sociale» au Cnam, revient sur la notion de secret professionnel des assistants sociaux… Le pôle de l’instruction d’Angoulême, en Charente, enquête sur la mort d’une fillette (Laly) défenestrée le 8 janvier 2015 à Périgueux par un camarade de classe, rapporte Sud Ouest. Le petit garçon avait déjà commis de tels actes quelques mois plus tôt dans une autre école, mais l’assistante sociale chargée de son suivi ne les avait pas communiqués au nouvel établissement. Dans le cadre de cette enquête, l’assistante sociale invoque le secret professionnel… « Affaire Laly » : quand un drame met en lumière la contestation sociale du secret professionnel « Le débat [] consiste à savoir si l’assistante sociale aurait dû signaler à la nouvelle école la « dangerosité » de l’enfant voire au Procureur de la République les faits de 2013 où celui-ci aurait violenté un enfant de 2 ans chez sa nounou. Le premier écueil de ce type de raisonnement est qu’il consiste à penser des faits passés sous l’angle de l’issue, en l’occurrence le drame, connu mais qui ne pouvait bien évidemment pas être imaginée en 2013 et, sur cette base, à accuser les professionnels en charge de l’enfant… (l’analyse d’Antoine Guillet à lire sur secretpro.fr)

  • Maison de retraite dans le Jura : « Laver les dents ? Les cheveux ? On n’a pas le temps, il faut choisir »  C’est la plus longue grève de France et elle se mène dans l’indifférence générale. Depuis le 3 avril dernier, soit depuis 109 jours, une dizaine d’aides-soignantes de la maison de retraite Les Opalines, à Foucherans, dans le Jura, ont cessé le travail. Elles sont installées sous un calicot devant l’entrée de l’établissement. Elles sont à bout et dénoncent un sous-effectif qui ne leur permet pas de traiter correctement leurs résidents. Notre reporter (Europe 1) les as rencontrées.

  • Quand le cheval aide les victimes de violences conjugales :  Des femmes victimes de violence apprennent à reprendre confiance en elles et à exprimer leurs émotions au contact des chevaux. Dans le manège, le cheval trottine sur le sable et tournoie au rythme des indications. Ici, point de bride, ni de selle, car l’animal n’est pas monté pour une session classique d’équitation. Ce jour-là, c’est une séance un peu particulière qui se déroule au centre équestre des Cavaliers, à Vernouillet. Quatre femmes suivent le programme Vitao, un accompagnement assisté par le cheval.

    et aussi…

  • Hautes-Pyrénées : des riverains murent un hôtel transformé en centre d’accueil pour migrants. L’accès à un hôtel en cours de transformation en centre d’accueil pour migrants près de Tarbes a été muré lundi matin 24 juillet par des riverains qui protestent en particulier contre leur venue dans ce « quartier résidentiel » .../…  « Nous ne sommes pas contre l’accueil. Il faut faire quelque chose pour ces personnes en difficulté », a expliqué Laurent Teixeira, responsable du Collectif Séméac, qui regroupe les opposants au projet. « Mais il faut prendre également en compte les citoyens », a-t-il ajouté.

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