1 SDF sur 4 est un ancien enfant placé.. Le danger permanent des victimes de violences.. Accueil des migrants : une belle expérience dans les Deux-Sèvres..

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  • Près d’un SDF sur quatre est un ancien enfant placé : Les anciens enfants placés sont particulièrement exposés à la rue. 23 % des personnes privées de logement sont d’anciens enfants placés, alors qu’ils ne représentent que 2 à 3 % de la population générale. La première période de rue survient pour 21 % d’entre eux pendant le placement, et pour 11 % à la fin de la prise en charge, obligatoire jusqu’à 18 ans. Elle peut se prolonger jusqu’à 21 ans par un contrat jeune majeur. Mais ces contrats, en raison des difficultés budgétaires des départements, sont en baisse régulière. Ils concernent aujourd’hui 18 000 personnes, contre 21 300 en 2010.
  • « Les victimes de violences sexuelles ont une sensation de danger permanent » : Quelles sont les conséquences psychiques d’un harcèlement sexuel ? Comment les dépasser ? La psychiatre Muriel Salmona décrypte ces mécanismes.
  • Accueil des migrants : une expérience positive dans les Deux-Sèvres : « Ce que nous craignions avant l’arrivée de nos premiers demandeurs d’asile, c’était la réaction de nos administrés, explique Martine David. C’est pour cela que nous avions alors organisé des réunions publiques. Un de ces futurs voisins, une dame assez âgée, nous avait alors fait part de son inquiétude. Aujourd’hui, elle est la première à vouloir préparer le goûter des enfants au retour de l’école quand les parents sont pris par ailleurs. »  Sur le plan financier, le CCAS de la commune reçoit de la préfecture une subvention de 25 € par migrant et par journée d’accueil. « Cela nous sert à couvrir des frais comme le pécule dont ils se servent pour leur alimentation ou se payer des choses comme une carte téléphonique »

et aussi

  • Ecouter les inaudibles, sociologie politique des précaires : La lutte quotidienne pour la survie incite aux comportements individualistes, à la « débrouille » plus qu’à l’action collective. Elle suscite un profond sentiment d’injustice face aux riches, mais ne pousse pas à la révolte.

 

 Photo : Charles Chevillard SDF

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